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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 06:09


Un peu de route et nous arrivons aux gorges du Verdon.

C'est un site grandiose que nous connaissons déjà mais nous n'avons pas résisté au désir de le visiter à nouveau.
Malheureusement, la pluie est venue gâcher un peu de notre plaisir et les photos ne sont pas aussi belles que je l'aurais espéré.



Pour ceux qui seraient aussi cureux que moi, j'ai trouvé quelques explications concernant l'origine de ces gorges sur
ce site . Je vous copie une partie du texte.

" Cet immense et magnifique canyon est situé à cheval sur les départements du Var et des Alpes de Hautes Provence.

Les gorges du Verdon résultent de l'érosion de la rivière du Verdon et se présentent aujourd'hui en de gigantesques falaises de roches calcaires.

Elles ne furent réellement découvertes et reconnues qu'au début du siècle, depuis elles attirent et fascinent de nombreux visiteurs...il faut dire que le spectacle est grandiose ! Au milieu d'espaces naturels protégés, riches en faune et flore, les panoramas offerts sont vertigineux. Les villages sentinelles nichés au bord de la faille ont gardé le charme des villages provençaux d'autrefois, ils vous accueillent chaleureusement et vous proposent de multiples activités grâce aux cadeaux de cette si belle nature...

- sports d'eau vives : rafting, canyoning, canoë kayak...
- sports nautiques : voile, ski nautique, pêche...
- sports aériens : parapente, vol libre, vol à voile...
- escalades, randonnées pédestres, équitation, VTT.....

Le Parc Naturel Régional du Verdon
est constitué depuis Mars 97.

Il englobe aujourd'hui 43 communes des deux départements et s'étend sur près de 178 000 hectares."















Notre visite des gorges se termine au village de Moustiers Sainte-Marie où nous ferons halte pour la nuit mais......

vous devrez attendre le prochain article.....

A bientôt.

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10 mai 2009 7 10 /05 /mai /2009 06:00

Poursuivant notre périple, nos pas ou plutôt nos roues, nous ont conduits à Sillans-la-Cascade, charmant petit village à 30 km de Draguignan et à 9 km d'Aupt.

Le village situé sur une colline au-dessus de la rivière, la Bresque et ses abords sont inscrits à l'inventaire des sites protégés.

La cascade de 42 m en est la principale attraction touristique.
On peut y accéder en suivant un sentier d'environ 500m.
Le spectacle qui s'offre alors au visiteur est magnifique.

En voici un aperçu.












La baignade est interdite car l'eau est glaciale et les secours ne pourraient atteindre le site assez rapidement en cas d'accident.


A bientôt pour la suite du voyage, si vous êtes intéressés, bien sûr.



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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 06:56


Nous quittons Gréasque, direction Sainte Anastasie sur Issole.

Pourquoi Ste Anastasie ?

Parce que j'avais découvert ce nom sur une annonce immobilière et que nous ne connaissions pas.

De là, nous continuons sur Vins sur Caramy toujours pour la même raison, nous sommes très curieux !

Par hasard, nous passons près du lac de Carces où nous voyons un panneau "parking" au bord du lac.
Ni une, ni deux, demi tour et nous cherchons le parking.
Un bel emplacement nous tend les bras, nous voilà posés pour deux jours ou plutôt deux nuits.



Comble de chance, je découvre dans notre classeur "randonnée" un parcours autour du lac et du village de Carces que nous ferons avec grand plaisir.

C'est une très belle balade en pleine nature et nous avons visité le charmant village de Carces.
Voici ce que j'en ai trouvé sur
ce site.



"A 17 km au Nord-Est de Brignoles (sur la N7) par les D554
puis D 562 en passant par
Le Val.

A 130 m d'altitude entre les alpes Provençales et les plages de Méditerranée, Carcès est au centre du Var, bâti sur une colline au confluent de l'Argens et du Caramy. C'est un site verdoyant et recherché pour son calme.

Des sentiers boisés conduiront les amoureux de la nature à travers bois et campagnes en longeant les rivières. Aux détours de ses ruelles vous découvrirez le patrimoine historique du village, sa cité médiévale et ses nombreux artisans.

A proximité immédiate se trouve le lac de Carcès, magnifique plan d'eau de 100 ha. Avec ses 8 km de rives c'est un véritable paradis pour les pécheurs.
Grâce aux 4 rivières qui le rafraîchissent (l'Argens, l'Issole, le Caramy et la Bresque), Carcès est un haut lieu de la pêche en eau douce toutes catégories.

Les cigales et le soleil vous y attendent ! "


On n'a pas entendu les cigales mais on a bien eu le soleil.

Pour mieux connaître ce village et son histoire, vous pouvez visiter le site de la mairie.

Je n'ai pas pris de photos du centre village car, il y avait le marché et les étals des commerçant masquaient les bâtiments.
Voici seulement un mur peint





et la belle façade de la maison de retraite.




Sur le chemin du retour, nous avons longé un petit canal, découvert les chutes du Caramy, très belle cascade de 2 fois 7 m.




Nous avons longé le lac sur sa rive gauche où une piste est aménagée pour les promeneurs, les cyclistes et les pêcheurs.



Le lac de Carcès a été aménagé en 1934 au confluent de l'Issole et du Caramy pour alimenter en eau potable la ville de Toulon et les communes de la ceinture toulonnaise..



A bientôt pour la suite de notre petit voyage dans une région bien agréable à visiter.





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7 mai 2009 4 07 /05 /mai /2009 06:32


Partis pour une virée en "Provence verte", nous avons fait halte à Gréasque (Bouches du Rhône) où nous avons la chance de trouver une aire de stationnement gratuite pour les camping-cars sur le site du musée de la mine.

C'est assez rare pour que je prenne le temps de présenter
Gréasque

Le village de Gréasque, ancienne bourgade minière, bénéficie d'une situation géographique privilégiée entre Aix, Marseille et Aubagne, à une demie-heure de route, les plages de la Ciotat, Cassis et Marseille.

Les forêts du Domaine Communal qui entourent le village permettent d'agréables promenades à pieds, en VTT ou à cheval.
Un parcours de santé a même été réalisé pour le plus grand plaisir des grands et des petits.

La campagne environnante offre elle aussi de superbes randonnées : la chaine de l'étoile, le Tholonet, la Sainte Victoire, le Luberon, et bien d'autres encore...




Le musée de la mine est situé sur l'emplacement du Puy Hély d'Oissel.






Nous avons beaucoup appécié de pouvoir passer la nuit en cet endroit très calme et bien agréable.

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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 18:04



Je viens de passer quelques jours à l'Alpe du Grand Serre en famille, vacances obligent trois petits enfants nous accompagnaient.

L'Alpe du Grand Serre est une petite station familiale aussi agréable en été qu'en hiver.

En réalité, la station dépend de la commune de La Morte. Ce nom n'étant pas très attractif, la station a été rebaptisée du nom du sommet qui la domine le "Grand Serre".
Si vous voulez connaître un peu de son histoire, vous pouvez visiter ce site ou bien celui-ci dont voici des extraits :

 

"DE « LA MORTE » A « L'ALPE DU GRAND SERRE »

La station touristique de l'Alpe du Grand Serre est implantée sur la commune de la Morte dont le nom fait encore légende en Isère.

Si l'on s'en réfère aux érudits, « La Morte », serait d'origine préceltique, « mor - murr » signifiant butte rocheuse. Le suffixe latin « ta » étant ensuite ajouté, le nom évolua au XIIIème siècle en « Mortua », puis au XIVème siècle en Mons de Morta.
Mais cette appellation sinistre, on s'en doute, a encouragé les imaginations fécondes et a donné lieu à de nombreuses interprétations et légendes qui ont traversé les époques pour entrer dans le patrimoine de la station.
C'est dans les années 1938-1939 lorsque la station s'est tournée vers les sports d'hiver que le nom de l'Alpe du Grand Serre est apparu. Les habitants de la commune se nomment les mortillons.

L'HISTORIQUE DE LA STATION

Avant l'avènement du ski, la commune de la Morte, était peuplée d'une soixantaine de familles qui se consacraient à une activité agricole et d'élevage. Le bétail est nombreux (280 vaches, moutons et chèvres) et 20 chevaux aident les paysans dans leurs travaux. La vie est rythmée par les saisons. Au printemps on prépare les champs et on sème les pommes de terre, l'orge et l'avoine qui assureront la subsistance de tous. L'été, c'est la saison des foins, bientôt rattrapé par l'automne, lourd de tous les préparatifs en vue de l'hiver : ramassages du bois, récoltes, battage des céréales, préparation des salaisons... L'hiver, est consacré aux travaux d'entretien des habitations et les exceptionnelles fêtes de l'été sont remplacées par les veillées nocturnes.

Mais si déjà à la fin du siècle dernier on notait une première activité touristique avec l'édification d'un gîte d'étape par la Société des Touristes en Dauphiné, c'est en 1938 que l'activité touristique liée au ski apparaît.
.......

En 1987, on compte 20 remontées mécaniques modernes et la liaison avec la station de Saint-Honoré 1500 est déjà ouverte. La clientèle trouve là une deuxième porte d'entrée sur le domaine skiable des portes de l'Oisans.

Le domaine atteint sa maturité et sa qualité augmente régulièrement, mais quelques années plus tard la SATELAM connaît des problèmes financiers et en décembre 1996, le SIAG (Syndicat Intercommunal pour l'Aménagement et la Gestion du domaine du Grand Serre) fait appel à une nouvelle société pour exploiter son domaine skiable, Nivis. Depuis 2001, c'est la SATA, société d'aménagement touristique de l'Alpe d'Huez et des Grandes Rousses et du Grand Serre qui est l'exploitant du domaine skiable de l'Alpe du Grand Serre. Le SIAG et la SATA ont signé en 2004 une Délégation de Service Public (DSP) pour la gestion du domaine skiable de l'Alpe du Grand Serre pour une durée de 18 ans."


L'Alpe du Grand Serre, c'est :

en hiver
un domaine de 550 hectares,
55 kilomètres de pistes de 1367 à 2200 m d’altitude, 
un réseau de 27 canons à neige, 
20 km de pistes de ski de fond, 
possibilité de ski de randonnée sur le Taillefer ou le Tabor
des promenades en raquettes à neige ou à pieds.

en été
des randonnées
deux parcours aménagés en via ferrata
du canyoning
de l'escalade
la pêche
 

Nous sommes tout près de la cascade où il est possible de pratiquer l'escalade, le canyoning et deux parcours de via ferrata.





Voici la vue que nous avions de notre balcon.




 

 

Continuons la visite avec un  diaporama qui vous fera découvrir la station et ses alentours, le Grand Serre bien sûr et le hameau du désert d'où nous avons une vue plongeante sur le Sappey et la vallée en direction de Vizille.




 



 

Pour finir, les premières fleurs après la neige.










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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 07:36
Comme promis, nous terminons la visite aujourd'hui.

Redescendons pour nous rendre à l'église et au cloître Saint André le Bas.






"Ces deux édifices faisaient partie d’une riche et puissante abbaye, fondée au VIe siècle. Chapelle du palais du roi Boson, à la fin du IXe siècle, l’église fut remaniée au XIe et XIIe siècles.

Avec son abside demi-circulaire encadrée de puissantes colonnes et chapiteaux antiques remployés et une nef unique inachevée à l’ouest, elle est surtout remarquable par son ornementation sculptée de style roman (chapiteaux, colonnettes, frises...).

Le cloître (XIIe siècle) est lui aussi richement orné de colonnettes et de chapiteaux sculptés : éléments floraux, bestiaires, scènes bibliques, où l’on trouve aussi l’influence de l’art antique. Sur les murs, exceptionnelle collection de pierres funéraires inscrites. Trois salles sont destinées aux expositions temporaires organisées toute l’année.


A l’exception des jours fériés, l’église peut se visiter sur demande à la Salle du patrimoine, située en contrebas, durant les horaires d’ouverture de la Salle, du mercredi au dimanche de 9h30 à 12h30 et de 14h à 17h (18h d’avril à octobre)."

La visite étant payante, nous n'entrons pas dans l'église et nous ne voyons que ce qui est exposé dans le jardin adjacent.





Pour terminé cette balade, nous faisons halte auprès de la Pyramide.

"Ce monument qui s’élève à plus de 20 mètres de hauteur, se dressait en place centrale du cirque (lieu réservé aux courses de chars) comme les obélisques qu’on trouve dans d’autres cirques comparables du monde romain. Son emplacement sur une plate-forme axiale (spina) a été confirmé par des fouilles faites au XIXe siècle, puis au début du suivant."






Et c'est ainsi que ce termine notre escapade à Vienne.

"Le site de Vienne est occupé depuis la plus haute antiquité. Vers 40 ap J.C. la ville se développe de chaque côté du Rhône et se place alors parmi les plus grandes villes de la Gaule. Elle est parée de monuments remarquables, dont certains sont encore visibles aujourd’hui, et bénéficie d’une activité économique importante basée notamment sur les échanges commerciaux grâce au Rhône.
En 1450, Vienne est rattachée au royaume de France ; elle va alors être peu à peu éclipsée par la ville voisine Lyon et par Grenoble pour l’administration du Dauphiné. Aujourd’hui, Vienne est une ville essentiellement tertiaire, avec néanmoins quelques industries de pointe.

Elle jouit d’une activité commerciale et culturelle intense tout au long de l’année. Son animation atteint son comble avec le festival de Jazz, au début de l’été."



Merci de m'avoir suivie tous ces jours.

J'espère que ce petit voyage vous a plu.

Je vous souhaite un bon week-end.


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27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 07:52
Prêt pour la grimpette promise hier ?

Ouf !! nous voici en haut du mont Pipet.

Notre effort est bien récompensé, admirez cette belle vue !!!











"Le mont Pipet se dresse entre deux ravins escarpés.
Le théâtre romain s’y est adossé à l’Ouest complété au sommet par une plate-forme aménagée artificiellement pour y établir un sanctuaire avec une esplanade entourée de colonnades, des temples et des statues.
Au Moyen Age, le lieu fut transformé en forteresse qui fut démantelée au XVIIe siècle.

Depuis la seconde moitié du XIXe siècle, un lieu de culte chrétien y est installé avec un statue et une chapelle consacrées à la Vierge Marie.

Le belvédère du Mont Pipet, accessible à pied, est un haut lieu privilégié pour découvrir la ville par-dessus les toits."





Au pied de la tour, nous avons découvert un Khatchkar.
Je ne connaissais pas.
Le Khatchkar est une croix de pierre sculptée - Khatch (croix), Kar (pierre), expression de l'art arménien.
Ce Khatchkar a été offert par les associations arméniennes de Vienne.
Vous pouvez lire toutes ces informations sur la plaque ci-dessous.






Il nous faut maintenant songer à redescendre pour finir notre visite.

Je vous propose de revenir demain car je dois quitter l'ordi et vaquer à mes occupations domestiques.

Si je vous rase avec cette visite, quittez vite cette page et revenez plus tard.
Pour les plus patients, promis, ce sera fini demain.

Bonne journée. 

 
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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 07:38



Vos pieds vont mieux ?
Alors on repart.


Le temple d'Auguste et de Livie

"Ainsi nommé depuis la fin du XVIIIe siècle, ce temple, dédié au culte de Rome et d’Auguste, s’élevait dans une aire sacrée sur le forum. Sa construction a commencé vers 20-10 avant J.C. ; puis il fut transformé au début du Moyen Age en église, et dut enfin sa restauration, dans la seconde moitié du XIXe siècle, à l’intervention de Prosper Mérimée."

 









Le jardin archéologique de Cybèle.

"A l’emplacement des anciens hospices, il présente les vestiges complexes d’un quartier de la ville gallo-romaine : arcades d’un portique de forum, mur en grand appareil d’une salle d’assemblées municipales, maisons et terrasses aménagées."


 

 

 

Le théâtre antique.

"Construit vers 40-50 après J.C., il est considéré comme l’un des plus importants de l’Antiquité romaine : 
130 m de diamètre 
capacité de jadis évaluée à 13000 spectateurs.
Restauré en 1938, il a retrouvé sa fonction initiale en redevenant le cadre de manifestations artistiques telles que le festival de jazz."



Le théâtre vu du mont Pipet où je vous entraînerai plus tard.


La visite se termine pour aujourd'hui, demain, nous grimpons sur le mont Pipet, chaussez-vous bien.

A demain, bonne journée!

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25 février 2009 3 25 /02 /février /2009 11:14

Hier, Mardi gras, nous aurions pu nous déguiser ou faire les "bugnes".

Pas du tout, soyons fous...nous sommes allés visiter Vienne.
Pas Vienne en Autriche, ce serait bien trop loin pour une journée, Vienneen Isère.
C'est bien plus près de chez nous et pourtant, nous n'avons jamais visité.

Suivez-moi, je vous montre ce que l'on peut visiter, gratuitement.

La visite étant un peu longue, je vous la propose en plusieurs jours.
Je prends en charge, l'hébergement bien sûr !

Les commentaires accompagnant les photos sont copiés sur le site de la ville que j'ai mis en lien plus haut, je suis un peu fainéante, ne le saviez-vous pas ?

Munissons-nous d'abord d'un plan.


Nous commençons par l'église Saint Pierre.

"Cette église compte parmi les plus ancienne de France (Ve - VIe s.) De son état originel, elle a gardé son plan basilical et une nef charpentée, à laquelle s’est accolé un clocher-porche au XXIIe siècle. Elle abrite depuis le XIXe siècle un musée archéologique : sculptures gallo-romaines dont la célèbre « Tutela » divinité protectrice de la cité, mosaïques, monuments et stèles funéraires d’époque gallo-romaine... "




 





Voici maintenant la cathédrale primatiale Saint Maurice, en restauration.










Pour les détails de l'intérieur, un petit diaporama.







Déjà mal aux pieds !

D'accord, on fait une pose.

 

A demain pour la suite de la visite.

Bonne journée.


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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 06:12



Le didgeridoo est un instrument de musique à vent utilisé par les aborigènes du nord de l'Australie.

Didgeridoo, didjeridoo ou didjeridou, est un mot d'origine onomatopéique inventé par les colons Occidentaux à partir du son de cet instrument. Les aborigènes le nomment différemment en fonction de leur ethnie.




Le didgeridoo est traditionnellement fabriqué à partir d'un tronc d'eucalyptus creusé naturellement dans toute sa longueur par des termites.
La longueur varie de 100 à 180 cm, et le diamètre de 5 à 30 cm.
L'embouchure est généralement recouverte de cire d'abeille pour ramener l'embouchure à un diamètre facilement jouable proche de 30 mm, la rendre plus lisse, pour mieux l'adapter à la forme de la bouche et pour la protéger de l'humidité.
Traditionnellement, il peut être décoré par des peintures représentant des scènes de la mythologie aborigène ou des motifs claniques.

 



Pour terminer ce périple en Australie, je vous invite à redécouvrir une petite présentation de l'art aborigène en cliquant
ICI



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