17 octobre 2008
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Au cours de notre périple australien, nous avons fait escale à Coober Pedy entre Adelaïde et Alice Spring, au milieu de nulle part dans l'outback.
Nous atteignons la ville après avoir traversé une immensité désertique, des paysages lunaires ou plutôt marsiens puisque la plupart des films sensés se dérouler sur la planète mars ont été tournés ici.
Ce fut le décor naturel de Mad Max III.
Le nom de Coober Pedy vient d'une expression aborigène qui signifie " le terrier de l'homme blanc ".
Ce nom décrit parfaitement l'endroit car il y fait si chaud le jour ( jusqu'à plus de 50° ) que la majeur partie de la population vit dans des habitations troglodytes ( souvent d'anciennes mines désaffectées ) pour se protéger des rigueurs du climat..
En outre, on compte plus de 250 000 puits de mine en ville et dans les alentours.
Coober Pedy est en effet la capitale australienne, sinon mondiale, de l'opale.
Le premier filon a été découvert, par hasard, par un adolescent de 14 ans en janvier 1915.
Il est conseillé de ne pas s'écarter des routes car la régon est truffée d'entrée de puits, pas toujours signalés, et d'explosifs non utilisés.
La population de Coober Pedy est très cosmopolite, plus de 40 nationalités s'y cotoient, la plupart sont des chercheurs d'opales venus dans l'espoir de faire fortune.
Chacun peut en effet acheter une concession et l'exploiter pendant une durée déterminer.
Encore faut-il trouver le bon emplacement.
Les touristes peuvent chercher eux-mêmes des opales sur le site de " Jeweller's shop "en fouillant dans les tas de débris évacués en surface, cela s'appelle le "noodling ".
Il y a quelques années, la ville avait mauvaise réputation, les explosions étaient fréquentes : règlements de compte entre mineurs ou représailles contre la police...
Le conseil municipal affirme que cette période est révolue.
Il est vrai que, maintenant, la ville est sûre et accueillante pour les visiteurs.
Un petit apperçu de Coober Pedy et ses environs
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15 octobre 2008
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Pour les Warumungu et les Kaytitye, gardiens de ce site sacré, ces pierres rondes sont les oeufs du serpent arc-en-ciel, Yurlungur.
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13 octobre 2008
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Nitmiluk National Park La ville de Katherine, située sur la route reliant Darwin à Alice Springs, est l'une des rares réelles agglomérations qui jalonnent la Stuart Highway.
A une trentaine de kilomètres de là, le Nitmiluk National Park, anciennement connu sous le nom de Katherine Gorge, s'étend sur près de 292 800 hectares. Il renferme une succession de 13 gorges, séparées par des rapides, formées le long de la Katherine River, dans un cadre magnifique à la végétation tropicale.
La saison sèche, de mai à septembre, est la meilleure période pour visiter le parc.
Les activités sont nombreuses : vous pouvez participer à l'une des nombreuses croisières en bateau, louer un canoë ou bien faire un tour en hélicoptère au-dessus des gorges.
La baignade est autorisée, malgré la présence possible de crocodiles d'eau douce (freshwater crocodiles) - parait-il inoffensifs ( nous n'avons pas testé ).
Le Nitmiluk National Park est également connu pour ses nombreuses possibilités de promenades et de randonnées.
En 1989, le parc a été rendu au peuple aborigène local, les Jawoyn, et fut rebaptisé Nitmiluk, signifiant "la maison des cigales".
De nos jours, le parc est dirigé conjointement par les aborigènes et le gouvernement du Territoire du Nord.
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13 octobre 2008
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Uluru est aussi connu sous le nom d'Ayers Rock.
C'est avec Kata Tjuta, une formation rocheuse du centre de l'Australie appartenant au parc national d'Uluru-Kata Tjuta.
Uluru / Ayers Rock
En 1993, une politique de double dénomination a été mise en place et depuis 2002 le nom officiel est Uluru / Ayers Rock.
Uluru a une hauteur de 348 m, une longueur de 2,5 km et un périmètre de 9,4 km.
On le décrit comme un monolithe mais, il serait en réalité la partie immergée d'une formation rocheuse : un inselberg.
Il est vieux de plus de 400 millions d'années.
Il est composé de grès incrusté de minéraux et de particules de fer oxydées qui lui donnent sa couleur rouille au lever et au coucher du soleil.
Les aborigènes racontent que le rocher a été bâti au temps de la Tjukurpa ( le temps du rêve ) par deux enfants mythiques jouant dans la boue.
Il est le lieu central des croyances des Anangus pour qui le serpent arc-en-ciel, Yurlungur, dort dans l'un des bassins du sommet.
Tout autour du rocher, de nombreux sites sont sacrés, porteurs de mémoire et de légendes.
Du fait de son caractère sacré, son ascension est vivement déconseillée.
Les Anangus se sentent responsables de la sécurité des visiteurs et sont très affligés lorsque l'un deux se blesse ou meurt sur le site. Le site peut alors rester fermé plusieurs jours pour que les Anangus fassent leur cérémonie de deuil.
Pour les Anangus, escalader le rocher correspond à monter sur l'autel de Notre-Dame pour un chrétien ou arpenter la salle de prière avec ses chaussures pour un musulman.
Il est conseillé, pour profiter tout aussi pleinement d'Uluru, d'en faire le tour ( un sentier pédestre le permet ) tout en respectant les croyances aborigènes : certains sites sont interdits à la visite ou bien des panneaux invitent les visiteurs à ne pas prendre de photographies.
Kata Tjuta ( Monts Olga )
Leur nom signifie " beaucoup de têtes ", ils occupent aussi une place importante dans la Tjukurpa, il est interdit de les escalader.
Le principal sentier de randonnée, la " Valley of the winds " propose un circuit de 7,4 km qui serpente à travers les gorges.
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12 octobre 2008
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10 octobre 2008
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31 août 2008
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30 août 2008
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Je vous invite à continuer cette petite incursion en Afrique du sud en découvrant les Ndebele.
Les Ndébélés (signifiant ceux qui disparaissent sous leur longs boucliers) sont un peuple de l'Afrique du Sud de l'ethnie des Ngunis. Ils vivent au nord-est et à l'est de Pretoria ainsi qu'au Zimbabwe. Les Ndebele se répartissent en trois nations distinctes comprenant 700 000 individus (recensement de 2001).
- Les Ndébéles du Transvaal du Sud, autour de la région de Bronkhorstspruit
- Les Ndébélés du Northern Transvaal, dans la province de Limpopo, dans la région de Potgietersrus et Pietersburg.
- Les Matabele du Zimbabwe.
Pour en savoir plus sur ce peuple, je vous invite à lire la suite de l'article sur wikipedia.
Bon samedi.
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24 août 2008
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En arpentant les rues de Paris, je vous ai photographié des graffitis qui m'ont bien plu.
Un graffiti est une inscription calligraphiée ou un dessin tracé, peint ou gravé sur un support qui n'est normalement pas prévu à cet effet. Longtemps regardé comme un sujet négligeable, le graffiti est aujourd'hui considéré, selon les points de vue, comme un moyen d'expression, comme un art visuel, ou comme une nuisance urbaine. ( wikipedia )
Les trois premiers ornaient la devanture d'une pizzéria.
Le dernier serait un stylet parce que collé sur le mur et non pas peint.
Promis, c'est fini, je ne vous parle plus de mon voyage à Paris. ...A moins que.....
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23 août 2008
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Samedi 16 août
A pied, nous gagnons le cimetière du Père Lachaise. Je n'ai pas pris de photos car je me sentais génée de photographier des tombes, c'est personnel.
Je l'ai trouvé immense.
Nous sommes passées près de quelques personnages illustres La Fontaine, Molière,Paul Eluard, Géricault, Oscar Wilde et bien sûr Edith Piaf , son voisin henry Salvdor et tous les autres que je ne vais pas vous énumérer.
Je regrette que l'on ne parle pas baucoup des monuments érigés à la mémoire des victimes du nazisme.
C'est un passage que j'ai trouvé très émouvant.
Je comprends mieux pourquoi ce cimetière est un lieu de promenade apprécié tant il est agréable de marcher au calme, à l'ombre des grands arbres ou se reposer sur les bancs. On oublie parfois qu'on est dans un cimetière.
Après le repas, nous avons enchaîné avec le musée Picasso
Je connaissais Picasso par ses peintures, je n'imaginais pas qu'il avait fait autant de choses et si variées : dessins, peintures, collages de papiers et d'objets récupérés, sculptures, pliages de papier, de cartons, de tôles, poteries et céramiques .....
Un artiste complet et qui a pu vivre de son art.
Les photos sont bien sûr interdites, je ne peux que vous inviter à visiter les sites mis en liens où j'ai trouvé ces illustrations.
Retour par le centre Beaubourg.
Personnellement, je trouve toutes ces couleurs très belles mais choquantes par rapport aux bâtiments environnants.
C'est un avis très personnel, je vous l'accorde.
Nous n'avons qu'entrer et sortir, il se faisait tard déjà.
Derrière, un bassin et ses sculptures multicolores malheureusement très sale puisque servant de poubelle à certains visiteurs indélicats. Dommage !
La journée s'est terminée dans un bar à tapas pour fêter mon dernier jour à Paris .
Dimanche, départ gare de Lyon , bien triste de devoir quiter ma fille mais tellement heureuse de ces beaux moments de complicité.
Expérience enrichissante à tout point de vue à renouveler dès que possible.
Je ne suis pas encore prête à encourager le PSG, faut pas exagérer, mais j'ai beaucoup aimé Paris.
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