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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 14:27

 

Notre voyage dans le Doubs, s'est terminé par la visite d'un tuyé.

 

Mais qu'est-ce donc qu'un tuyé ?

 

Wikipédia nous apprend que :

"Le tuyé, écrit également tuhé ou tué et prononcé « tué » est une pièce centrale des fermes du Haut-Doubs, notamment la région de Morteau, où l'on fait fumer la viande. Elle recueille les tuyaux de tous les poêles de la maison, d'où peut-être son nom d'après certains historiens (d'autres avançant une racine celte signifiant « toit »).

Le tuyé est le cœur, le foyer, l'âme de la vie des montagnons. L'âtre où l'on fait brûler du sapin, épicéa et genévrier est à même le sol. Au-dessus, de longues perches horizontales où se fumeront tout doucement jambons, lard, saucisses, palette ou encore brési. La fumaison dure de quelques semaines à trois mois.

Une immense cheminée débouche sur le toit. L'orifice peut être ouvert ou fermé en fonction de la direction du vent à l'aide d'un système de chaînes manœuvré de l'intérieur qui actionne deux volets, l'un côté bise, l'autre côté vent.

Le tuyé est obligatoire dans le cahier des charges de la saucisse de Morteau, dont la durée de fumaison ne peut être inférieure à 48 heures."

 

Nous avons visité le Tuyé du Pay Gaby

 

J'aurais préféré visiter un vrai tuyé, ancien, dans une ferme , celui du Papy Gaby est un peu trop "accroche touristes" à mon goût, (on voit peu mais on peut acheter beaucoup).

 

saut du Doubs 18

 

saut du Doubs 28

saut du Doubs 26

saut du Doubs 19

 

 

Pour les gourmands et les gourmets.

 

saut du Doubs 21

saut du Doubs 22

saut du Doubs 23

saut du Doubs 25

 

Et pour finir, les fameuses saucisses de Morteau.

 

saut du Doubs 24

 

Nous étions en République du Saugeais.

 

Je ne connaissais pas du tout cette république, j'ai donc fait des recherches pour en savoir plus.

Outre wikipédia en lien ci dessus, j'ai trouvé sur le site "Racines comtoises" cet article :

 

 

La République du Saugeais

samedi 7 mars 2009, par Bernard Girard

 

 

La République du Saugeais

La République du Saugeaisa été fondée en 1947. Le Préfet du Doubs Mr Ottaviani, en visite à Montbenoît, déjeune à l’Auberge de l’Abbaye, tenue à l’époque par Mr et Mme Pourchet. Pour plaisanter sur le Saugeais, Mr Pourchet demande au préfet s’il a son laissez-passer pour circuler dans la République du Saugeais. Le Préfet lui répond que s’il s’agit d’une République, il faut un Président et nomme Mr Georges Pourchet Président de la République libre du Saugeais ! Georges Pourchet décide alors d’en accepter la charge.

La République du Saugeaiscompte 3 600 habitants, elle couvre 125 kilomètres carrés et regroupe onze communes : Les Alliés, Arçon, Bugny, Hauterive la Fresse, La Chaux de Gilley, La Longeville, Maisons du Bois-Liévremont, Montbenoit, Montflovin, et Ville du Pont, Montbenoît étant la capitale.

Au décès de son mari en 1968, son épouse Gabrielle Pourchet assure l’intérim jusqu’en 1972 où elle est nommée présidente, élue à l’applaudimètre et à vie, lors d’une kermesse. Elle meurt le 1 er septembre 2005, sa fille Georgette Pourchet lui succède le 28 janvier 2006.

 

saut du Doubs 27

L'ancienne présidente
 
 
 
saut du Doubs 32
saut du Doubs 29

 

Le douanier qui pose pour la photographe de service.

 

 

La visite se termine sur cette belle vue qui s'offre au visiteur en sortant du tuyé.

 

saut du Doubs 30

 

Un beau coin de France bien paisible.

 

 

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 13:43

 

Mardi 11 mai, nous avons franchi une nouvelle étape de notre vie.

Mon mari et moi avons participé à notre premier voyage de retraités.

Seule consolation, nous étions les plus jeunes !

 

Lever 4h 30, départ sous la pluie pour rejoindre le groupe à Lyon.

Il faut être fous ! on pourrait être bien au chaud sous la couette.

C'est donc ça la dure réalité des retraités ?

 

Nous voilà donc partis à 7 heures du matin de Lyon en direction du saut du Doubs.

 

Des kilomètres et des kilomètres plus loin, après la petite pose technique obligatoire, nous arrivons à Villers-le lac.

 

Heureusement, la pluie s'est arrêtée, mais vous verrez à la luminosité des photos que ce n'était pas pour autant le grand soleil.

 

A peine descendus du car, nous embarquons sur un bateau pour une "croisière-déjeuner"

 

(photo de leur site car trop ensoleillée pour nous)

 

entre France et Suisse (j'ai beaucoup pensé à H-IL et sa Jonquille).

 

  saut du Doubs

 

 

Tiens, une visite !

 

saut du Doubs 2

 

 

Le frère jumeau de notre bateau.

Une particularité de ces bateaux, ils utilisent, l'énergie électrique, l'énergie solaire et sont équipés aussi d'un moteur diesel.

saut du Doubs 6

 

 

Voyez comme le temps est clair.

Il fait tellement beau que je prends les photos à travers la vitre.

 

saut du Doubs 15

 

saut du Doubs 14

 

Nous avons mangé à bord mais avant le fromage et le dessert, nous avons pu faire une halte digestive pour marcher jusqu'au béveldère du saut du Doubs.

 

 Côté Suisse

  saut du Doubs 7 

 

Côté français, sur le mur de la seule maison qui est habitée par une famille toute l'année.

saut du Doubs 12

 

De plus près.

saut du Doubs 13

 

 

Le saut du Doubs, enfin !

On s'est quand même levés à 4h30 pour venir le voir.

 

saut du Doubs 8

 

 

Le lit du Doubs

saut du Doubs 10

 

 

saut du Doubs 11

 

saut du Doubs 9

 

De retour sur le bateau, nous pouvons déguster, fromage et dessert tout en admirant le paysage magnifique et toujours aussi ensoleillé.

 

Un goéland français ou suisse ?

saut du Doubs 16

... c'était un suisse, il venait (d'après le capitaine) du lac de Neuchâtel.

 

 

Un village suisse

saut du Doubs 17

 

De retour sur la terre ferme, nous reprenons le car pour.....

 

Ce sera le prochain article ........

 

 

 

Pour ceux que cela intéressent, voici quelques renseignements sur la rivière.

Sur wikipedia, on peut lire :

"D'une longueur de 453 kilomètres, il prend sa source à Mouthe (département du Doubs), près de la frontière suisse, à 937 md'altitude. Le Doubs a globalement la forme d'un M avec des jambes très allongées. Il s'écoule d'abord vers le nord-est, traverse successivement le lac de Saint-Point, le lac de Chaillexon et puis, dès le Lac des Brenets et le saut du Doubs, il marque la frontière entre la Suisse et la France sur quelques dizaines de kilomètres. Après un crochet de quelques kilomètres entièrement en Suisse (le Clos-du-Doubs), il change brutalement de direction et s'écoule vers l'ouest, jusqu'à Saint-Hippolyte, où il est rejoint par le Dessoubre. Le confluent se situe schématiquement au niveau de la pointe centrale du M. Ensuite, après une courte remontée en direction du nord en amont de Montbéliard (qu'il n'arrose pas), il s'écoule en direction du sud-ouest dans une vallée encaissée creusée dans le plateau du Jura, utilisée par la N83 et par la voie ferrée Lyon-Strasbourg. En aval de Besançon, le Doubs s'écoule dans la plaine de la Saône et se jette dans la Saône à Verdun-sur-le-Doubs (Saône-et-Loire, 71) après avoir reçu la Loue, qui n'est autre qu'une résurgence du Doubs."

 

Fichier:Le Doubs (carte).jpg 

 

A plus tard pour la suite de notre voyage.

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31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 07:08


Saugues (en occitan Saug) est une commune française, située dans le département de la Haute-Loire et la région Auvergne.


Saugues est à 45 km à l'ouest du Puy en Velay.

Ancienne place forte du Gévaudan, elle s'est développée dès le XIIe siècle sous l'autorité des évêques de Mende et des seigneurs de Mercœur.

Les modernisations successives de la ville ont effacé les traces des fortifications médiévales, seule subsiste une imposante tour du XIIIe siècle.



La tour des anglais


Son centre historique fut dévasté par un incendie en 1788.




L'église

 




C'est dans les montagnes des alentours et près de Saugues que sévit à la veille de la Révolution, la fameuse bête du Gévaudan, de sinistre mémoire.

Image de la page d'accueil du site " Bête du Gévaudan"


Si vous voulez tout savoir ou presque sur l'histoire de cette bête légendaire, je vous conseille de visiter le site mis en lien sous la gravure
 et le musée de Saugues.

Ce musée présente une suite de salles. Dans chacune d'elles, une voix enregistrée raconte un épisode de la légende, illustré par des mannequins en costumes. 

Les photos sont interdites mais, je n'avais pas vu les panneaux, pourtant écrits en gros.
Voici donc en toute innocence, deux photos, non pas pour faire concurrence au musée, plutôt pour lui faire de la pub. 

Il est très intéressant à visiter avec les enfants qui adorent les histoires qui font peur et qui restent mystérieuses.






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30 juillet 2009 4 30 /07 /juillet /2009 07:04











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30 juillet 2009 4 30 /07 /juillet /2009 06:02




C'était l'endroit ou le maréchal ferrant venait ferrer les chevaux.


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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 12:49


Chambon-le-Château est une commune située dans le département de la Lozère (région du Languedoc-Roussillon). La ville de Chambon-le-Château appartient au canton de Grandrieu et à l'arrondissement de Mende. 


Les alentours de Chambon le château :











Et pour terminer, une devinette.
Qu'est-ce ?




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12 juillet 2009 7 12 /07 /juillet /2009 16:40

Continuant ma promenade dans l'Allier, je vous emmène visiter le château de Bourbon l'Archambault.



Un peu d'histoire d'abord copiée sur le site "
vacances Massif central"

"La forteresse médiévale de Bourbon d'Archambault constitue le berceau de la dynastie des Bourbons et s'identifie à l'histoire de la France. Elle représente l'une des plus imposantes ruines de l'époque féodale qu'il y ait en France malgré les outrages qu'elle a subis au cours des derniers siècles. Ancienne résidence des sires Archambault de Bourbon, ce château, qui compta jusqu'à 15 grosses tours, servit essentiellement de défense militaire alors que les ducs et leur cour se fixaient à Moulins. Après le XVIème siècle, le château dut abandonné et tomba progressivement en ruines, bien qu'un chapître veillât à la conservation des Saintes Reliques apportées à Bourbon par Robert de France, sixième fils de Saint Louis dans la Sainte Chapelle, merveille de pierres et de vitraux dont la beauté égalait celle de la Sainte Chapelle de Paris. Confisqué à la Révolution, le château fut vendu comme bien national en 1794, devenant alors la carrière la plus prospère et tout le pays. En 1832, Achille Allier, poète local, sauva de la destruction les trois tours nord et la salle qui les précède, seuls témoignages actuels, avec la tour QUI Qu'en Grogne, de toute la puissance de cette forteresse qualifiée d'imprenable en son temps....."

Une visite est possible et des ateliers pédagogiques sont proposés pour les enfants, sur réservation, bien sûr.
Pour en savoir plus, cliquez
ici.

Lorsqu'un visiteur approche du château, le cor sonne, une gente dame en costume d'époque vient accueillir le voyageur, s'adressant à lui dans un langage s'apparentant au vieux français , très inspiré de "Jacquouille" pour être compréhensible.

 

La visite peut alors commencer, accompagner de guides en costumes médiévaux.



 
























Lorsque le seigneur partait chasser ou guerroyer, sa dame restait enfermée dans sa chambre où elle jouait,  écoutait les lectures faites par ses dames de compagnie ou bien chantait s'accompagnant de divers instruments.










La visite se termine par une collation offerte par le châtelain.



J'espère que cette petite balade en photos vous a plu et vous incitera à faire vous-même la visite si vous séjournez dans cette belle région du centre de la France.




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2 juillet 2009 4 02 /07 /juillet /2009 15:30



Lors de mon séjour "
découverte de le vie des ados" dans le centre de la France, j'ai eu le plaisir de visiter le moulin à vent des "éventées" à Saint Pierre le Moutier dans la Nièvre.
C'est un très beau moulin à vent restauré en 2006 et en parfait état de marche.
Il est géré par l'association "Patrimoine Nivernais, Bourbonnais".
Il peut se visiter, pour plus de détails,
cliquez ici.

Sur le site du moulin, en lien au-dessus, on peut lire :

"Un acte notarié du 28 novembre 1863 nous donne l'origine du moulin des Eventés. Jean Labiesse fils et Jean Labiesse père et sa femme Taupin ont acquis du sieur François Giquet, une pièce de terre située aux Eventés, sur laquelle ils ont fait construire à frais communs, un moulin à vent.
Très vite, un incendie détruit presque complètement le moulin. Suivant un acte du 17 avril 1862, les époux Labiesse vendent à leur fils tous les droits leur appartenant dont la pièce de terre et les débris du moulin incendié. Le moulin avait alors été reconstruit par le fils. En 1892, la propriété appartient aux époux Freslin-Linet. Mais le moulin aurait déjà cessé de fonctionner vers 1884.
La propriété est pratiquement restée dans l'état d'origine, ce qui lui donne une grande valeur architecturale et ethnographique. Le moulin comme la maison. Dans la cour se trouve une citerne souterraine avec escalier en pierre et un lavoir avec pompe.
Le moulin comporte une cave voûtée dans la motte, un sous-sol dans la tour au même niveau que la cave, un rez-de-chaussée au niveau de la motte, l'étage des meules et un deuxième étage. Il possède deux paires de meules de la Ferté-sous-Jouarre actionnées par dessus. Il a la particularité de comporter un arbre vertical avec son rouet d'entraînement et le hérisson en fonte. Les pignons-lanternes sont également en fonte. Ce qui correspond bien à son époque. L'arbre-moteur n'existe plus, ni le rouet, depuis très longtemps. Les ailes sont du type symétrique traditionnel à toiles."

 

Prêts pour une visite virtuelle ?

Alors suivez-moi !




Ce séjour m'a permis de découvrir d'autres sites intéressants mais patience, il me faudra trouver le temps de vous en faire le récit.




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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 06:05


Dernière halte, avant le retour, pour prendre deux photos du château d'Allemagne en Provence.




"Allemagne en Provence est une petite commune qui a la chance de posséder un très beau château classé monument historique. Ce château, en parfait état, est habité toute l'année et ouvert aux visites du public."




"Au XIII° le château était un fort, il fut aggrandi et restauré pendant le XVI° siècle en un magnifique château Renaissance avec 5 niveaux, près de 600m², un donjon de 25 mètres, 5 tours à meurtrières."

Actuellement, le château peut-être visité mais aussi loué, en locations saisonnières, chambres d'hôtes, salles pour mariages, réceptions, conférences.... 


Merci de m'avoir suivie dans notre petit périple en Provence verte dont nous garderons un excellent souvenir.

La région nous a beaucoup plu par la diversité de ses paysages, par son côté un peu sauvage, sa verdure, ses rivières, ses lacs et ses cascades et le charme de ses petits villages...

Nous reviendrons sûrement.

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14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 06:00



A 634m d'altitude, construit en ampithéâtre au creux des collines provençales, Moustiers-Sainte-Marie est un petit village situé sur un site remarquable où se côtoient lac, montagnes et champs de lavande.





Vers l'an 300, la cité romaine de Rietz devient un évêché et prend alors le nom de "Moustiers" du latin "monasterium" avec un "s" en plus indiquant que plusieurs monastères y étaient installés.




Les ruelles de Moustiers enchantent par leur côté enchevêtré, où, après avoir gravi d'étroits escaliers à pic, on se retrouve sur des places insoupçonnées, cachées derrière les façades rouges et jaunes des maisons, aux toits recouverts de tuiles. Au gré des petites fontaines de pierres et des ruelles ombragées, on parvient au centre de la cité : la place de l'église.

 



Tiens, de bien curieux animaux pour la région !




 

L'église Notre-Dame qui fut à l'origine la chapelle d'un monastère important, est constituée d'un ancien cloché lombard à la structure bien étrange. Cette tour carrée haute de 22 m est composée de quatre étages de baies romanes. Datant de 1447, elle fait partie des quatre clochers mouvants recensés en Europe, construits avec tant d'habileté qu'ils bougeaient en même temps que les cloches. Pendant longtemps, on crut à une défaillance de la construction ce qui entraîna un renforcement des murs pour l'immobiliser. Autre caractéristique de cette église, son choeur qui renferme un sarcophage du IVème siècle en marbre blanc servant aujourd'hui d'autel.


 



Une deuxième église, Notre-Dame-de-Beauvoir, située dans l'échancrure où coule le torrent du Riou est un important centre de pélerinage. Perchée dans les grottes de Tuf, à l'endroit où s'installèrent les premiers moines, elle offre un point de vue incomparable sur toute la vallée. Seuls les courageux auront le loisir de l'admirer en gravissant les 365 marches.
(Je n'ai pas trouvé l'accès et c'était un peu tard, je n'ai donc pas eu le plaisir de gravir ces 365 marches.)


En levant les yeux vers cette église, on remarque une étrange étoile dorée à la feuille, suspendue à 250 m au-dessus du vide grâce à une chaîne tendue entre les deux pans de montagne qui s'ouvrent autour du torrent. Selon la légende, elle aurait été placée là en ex-voto par le chevalier Blacas au XIIème siècle pour remercier Dieu d'être revenu vivant des croisades.

 

 

 Outre le charme de son site et de ses ruelles, la petite citée s'enorgueillit de produire de très belles faïences, qui ont fait sa renommée dans les cours d'Europe aux XVIIème et XVIIIème siècles. Mais la nouvelle mode de la porcelaine et de la faïence fine anglaise mit fin à ces deux siècles d'intense activité. Cet artisanat connaît un renouveau de son activité depuis 1930. Il y a, à présent, 19 ateliers de faïence. Certains peuvent se visiter.



Les textes ne sont pas de moi.

J' ai trouvé tous ces  renseignements  concernant Moustiers Sainte Marie sur l'internaute week-end et moustiers.fr que je remercie.
Je vous invite à visiter ces sites,  ils sont très intéressants, j'ai beaucoup appris grâce à eux.

 

 

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